29/04/2009
RETOUR AUX SOURCES PARIS
Ah la rue de Meaux, souvenir d'une partie de l'enfance de Papounet mais elle a bien changé, les vieux immeubles ont été remplacé par des immeubles neufs. Mais l'école est toujours là- d'un côté les filles et de l'autre les garçons.
LES CASTORS
Un jour au bureau une personne m'appelle. Elle a trouvé mes coordonnées par mon blog car un jour j'ai évoqué les retrouvailles avec les enfants de la "petite rue". Cette petite rue a été le terrain de jeux de notre enfance. Elle cherche des photos ou des récits sur les "Castors" de Sarcelles pour faire une publication dans une revue.
Elle m'a appris des faits que j'ignorais. Par exemple que les "Castors" ont été les "pionniers" mais aussi les précurseurs de la construction du grand ensemble. A l'époque, ils avaient besoin de fonds pour mener leur projet à bien. Donc ils sont allés voir la SCIC pour obtenir des emprunts. La SCIC s'est déplacé pour voir leur projet et ont trouvé qu'il y avait plein de place autour pour construire. Donc, ils ont commencé à bâtir et voilà le processus était en marche pour la naissance de Sarcelles.
Malheureusement j'ai très peu de photos de cette époque ; l'album de mes parents étant un peu égaré.
Alors, cette "petite rue" elle est très chère à mon coeur et je vous la présente, c'est la rue Jean-François Millet à Sarcelles ; petite rue intérieure privée où les voitures ne circulaient pas trop et où nous avons fait nos premières armes en vélo, patins à roulettes. Nous avons joué "au papa et à la maman" , dessiné des marelles sur le bitume, fait glisser nos petites boîtes en fer pour atteindre le ciel. , fait des balles au prisonnier (les ballons allaient souvent chez les voisins d'ailleurs) bref c'était le temps de l'insouciance
Nous y organisions chaque année, une sorte de kermesse pour amuser les grands et les petits et l'on faisaient des jeux tels que : la course en sac, la course aux oeufs, le mât de Cocagne où il fallait aller chercher les cadeaux qui étaient accrochés en haut. Inutile de vous dire que je n'y suis jamais arrivée ou je n'ai pas voulu être ridicule disons ! (eh oui c'est moi qu'on appelle "cul de plomb"). J'étais déjà la reine du balai car nous balayions cette rue de haut en bas à cette occasion.
Plus tard, ados, les copains et copines s'y retrouvaient pour discuter le soir au retour du cinéma "LE RAVEL" . A cette époque, notre sortie c'était ce cinéma de quartier et le bar "chez Garde" où on se retrouvait autour de nems, devant le flipper ou le baby foot. La surveillance parentale était assurée par M. Martin (le papa de mes copines) qui nous attendait souvent à la sortie du cinoche. Il est vrai que certaines fois il y avait une faune bien particulière (mais rien à voir avec maintenant).
Dernièrement je suis passée dans l'avenue Paul Cézanne au retour de Paris, et j'ai été catastrophée de voir dans l'état où se trouvaient les pavillons (j'ai eu du mal à reconnaître ma maison plus rien à voir . Les haies pas taillées, les maisons rallongées avec plus ou moins de bon goût. Les jardins à l'abandon. Mais qu'on t-il fait à mon quartier !!!!!!!!! Plus jamais je ne reviendrai . Trop mal au coeur
25/04/2009
LES CLOCHES SONT PASSEES
Samedi soir, arrivée à vélo pour Arno et Isa accompagnés d'Emma et Juliette bien sûr. Les cloches étaient passées et quand on a dit à Juliette qu'on aller chercher du chocolat, ni une ni deux nous voilà partis. Le "lola" était dispersé dans le jardin . Munies de leur petit panier elles ont fait leur cueillette . Mais il en restait un gros . Où était-il donc ? Juliette était toute décontenancée, en voyant Emma avec son gros oeuf. Et moi alors ? Aidée de Papi elle a enfin trouvé son gros oeuf.
24/04/2009
23/04/2009
CARNET ROSE
Inscription à :
Articles (Atom)